Une tentative de coup d’État en République démocratique du Congo a été contrecarrée, mais elle a laissé trois personnes mortes, et des citoyens américains sont impliqués dans cet incident, selon un porte-parole militaire.
Le coup, dirigé contre la résidence du politicien congolais Vital Kamerhe et le palais présidentiel, aurait été orchestré par l’opposant Christian Malanga, dont la nationalité américaine a été confirmée par le porte-parole de l’armée, le général Sylvain Ekenge. Malanga a trouvé la mort lors d’une fusillade avec les gardes présidentiels, tandis que son fils, Marcel, a été arrêté par les forces de sécurité.
Ces développements soulèvent des questions sur le rôle et la présence d’Américains dans des événements politiques sensibles en Afrique centrale. Bien que le département d’État américain n’ait pas encore confirmé l’implication de ressortissants américains dans cette affaire, cette révélation soulève des préoccupations quant aux possibles liens entre des acteurs étrangers et les mouvements politiques internes au Congo.