Dans un geste sans précédent, l’ancien président Ali Bongo Ondimba et ses fils ont déclenché une grève de la faim au Gabon, attirant l’attention sur leur sort. Cependant, la société civile gabonaise se soulève avec indignation contre cette tentative des anciens dirigeants de monopoliser l’attention médiatique, alors qu’ils font face à des accusations graves de corruption. Lors d’une conférence de presse marquante, des figures éminentes de la société civile ont vigoureusement condamné cette manœuvre, affirmant que le véritable défi réside dans la poursuite de la justice et de la transparence. En effet, les poursuites pour détournement de fonds publics, enrichissement illicite et blanchiment d’argent pèsent lourdement sur la crédibilité de l’ancien régime et sur ses prétentions à un retour aux affaires. Ce geste désespéré des Bongo soulève des questions cruciales sur l’éthique et la responsabilité des dirigeants politiques, renforçant l’appel de la société civile pour un système gouvernemental plus juste et équitable au Gabon.