Tôlée de critique sur la toile à l’encontre de Muriel Blanche. Après que cette dernière ai refusé publiquement de soutenir Prince Aimé, les internautes , du moins , certains ont exprimé leur mécontentement. Si de nombreux influenceurs camerounais ont apporté leur soutien à la collaboration des ” Cinq grosses têtes”, Muriel Blanche n’a pas été saisie par l’effervescence qu’il y a autour de la résurrection de cette chanson.
La communauté camerounaise est en ébullition après que Muriel Blanche a décliné l’appel à soutenir publiquement le remix de Viviane des Cinq Grosses Têtes du game kmer, un morceau qui a déjà dépassé les 2 millions de vues sur YouTube en moins de 24h. Ce remix a suscité un élan de solidarité impressionnant au sein de la communauté artistique et des personnalités publiques camerounaises.
Ainsi, des figures emblématiques comme Samuel Eto’o, Ebenezer Kepombia, Emy Dany, Moustiques le Karismatique et bien d’autres artistes, blogueurs et influenceurs ont ouvertement exprimé leur soutien à ce remix, soulignant l’importance de l’unité dans la promotion de la culture camerounaise. Ce phénomène de solidarité a non seulement rassemblé les artistes, mais a également mobilisé les fans autour d’une cause commune.
Mais malgré cet engouement, la mère des braves a pris la décision de ne pas participer à cette dynamique. Sur sa page Facebook, elle a affirmé qu’elle n’était pas influencée par cet élan de solidarité et a précisé que personne ne devait lui imposer quoi que ce soit. Et, Muriel Blanche n’a pas fait de cadeau à cette internaute qui se veut avocate du remix de Viviane. « Je ne suis pas influencée par l’opinion publique et je n’agis pas pour vous plaire. Je prends mes propres décisions en fonctions de mes propres critères, que cela vous plaise ou non » a-t-elle déclaré. Cette déclaration a rapidement suscité une vague de réactions négatives sur les réseaux sociaux.
Les internautes n’ont pas tardé à faire entendre leur mécontentement. De nombreux commentaires traduisent une colère grandissante face à l’attitude de l’artiste. Certains vont même jusqu’à appeler au boycott de sa page et de ses projets, notamment celui de Miss Ayoba, qu’elle a publié peu après son refus de soutenir le remix.
Reste à voir comment cette controverse évoluera et quel impact elle aura sur sa carrière après son choix de l’individualisme au détriment de la solidarité culturelle.
Constantin GONNANG, Afrik Inform ☑️