À l’approche d’une nouvelle élection présidentielle, la résurgence de la « question bamiléké » — ou ce que certains appellent la bamiphobie — exige une analyse bien plus profonde qu’un simple regard ethnique. Réduire ce phénomène à une tension tribale revient à simplifier à l’excès une réalité complexe, enracinée dans l’histoire, et à perpétuer des stéréotypes qui masquent ses véritables origines.

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