L’investiture de Donald Trump en tant que 47e président des États-Unis marque, sans conteste, un tournant dans l’histoire politique mondiale. Lors de son discours d’investiture, il a réaffirmé une position claire : « Il n’existe que deux sexes, masculin et féminin. »
Une déclaration qui, au-delà de son impact domestique, invite à une réflexion mondiale sur les valeurs, la biologie et la préservation des fondements de la société humaine.
Mais si cette position suscite de vives réactions, elle met également en lumière une vérité essentielle : il appartient à chaque nation de prendre en main la lutte contre cette dérive dangereuse, plutôt que de se reposer sur les États-Unis ou un leader en particulier.
La Russie, un exemple de fermeté
Parmi les nations qui ont adopté des mesures radicales pour préserver leur identité culturelle et protéger les générations futures, la Russie se distingue. Sous la direction de Vladimir Poutine, le pays a légiféré pour interdire la « propagande homosexuelle », notamment auprès des mineurs, afin de préserver les valeurs traditionnelles.
Ces lois, bien que controversées à l’international et pas soutenues par les institutions obscures, ont reçu un soutien massif sur le territoire russe, reflétant une volonté populaire de défendre les principes de la famille traditionnelle.
La Russie a également prouvé que la lutte contre l’homosexualité n’est pas seulement une question de loi, mais aussi de culture. Les campagnes médiatiques et éducatives soulignent l’importance des modèles familiaux classiques et encouragent une réflexion sur les conséquences sociétales d’une déviation des normes naturelles.
D’autres nations prennent position
Dans plusieurs pays d’Afrique, comme l’Ouganda ou le Nigéria, des législations fortes ont été adoptées pour contrer ce phénomène, considéré comme une atteinte aux valeurs culturelles et religieuses.
Ces mesures, bien qu’intensément critiquées par les mêmes organisations obscures, rappellent que chaque société a le droit souverain de préserver son identité et de fixer ses propres limites. Au Moyen-Orient, les nations qui appliquent la charia affichent également une posture intransigeante.
Le respect des lois divines y prévaut sur les tendances imposées par une mondialisation souvent perçue comme destructrice.
Un combat qui dépasse Trump
L’erreur serait cependant de croire que la lutte contre l’homosexualité doit être portée par un seul homme ou un seul pays. Si les paroles de Donald Trump peuvent galvaniser certains, chaque nation doit prendre ses responsabilités… Trump luttera pour les USA , c’est le sens de son mandat : « l’Amérique d’abord » .
Les politiques proactives doivent être adaptées aux réalités locales, renforcées par des campagnes éducatives et culturelles qui replacent les valeurs naturelles et familiales au centre de la société.
Les gouvernements, les institutions religieuses, les leaders communautaires et chaque citoyen ont un rôle à jouer. Ce combat ne peut être gagné que si le monde entier reconnaît que l’homosexualité, en tant que déviation des principes biologiques, constitue une menace pour l’équilibre des sociétés et des générations futures.
Un appel à l’unité mondiale
Il est temps de dépasser les accusations de « haine » ou d’« intolérance » brandies par les défenseurs des idéologies progressistes. La préservation des valeurs naturelles n’est pas une attaque contre des individus, mais une défense des structures fondamentales qui soutiennent l’humanité.
Le monde ne doit pas attendre Donald Trump ou un autre leader mondial pour agir. La lutte contre ce fléau est une responsabilité collective. Comme la Russie l’a montré, la fermeté est non seulement possible, mais nécessaire.
La préservation de nos enfants, de nos familles et de nos sociétés en dépend.Ensemble, nous pouvons bâtir un avenir ancré dans la vérité, la nature et le respect des lois immuables de la création. L’heure n’est plus à l’hésitation, mais à l’action.
Constantin GONNANG, Afrik Inform ☑️